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Cette question a Ă©tĂ© rĂ©solue La derniĂšre mise Ă jour des informations contenues dans la rĂ©ponse Ă cette question a plus de 5 mois. Ma mĂšre vient de dĂ©cĂ©der. Tout d'abord, Je ne sais pas comment prendre contact avec sa cpam. Elle habitait Langon 33210.Ensuite, dois-je, dans le courrier de dĂ©claration de dĂ©cĂšs, joindre sa carte vitale?Merci Cedric Cedric Niveau 0 12 / 100 points 1 question posĂ©e 1 rĂ©ponse publiĂ©e 0 meilleure rĂ©ponse Les meilleures rĂ©ponses sont les rĂ©ponses certifiĂ©es par un expert ameli ou approuvĂ©es par l'auteur de la question. Inscrite le 12/12/2017 Voir le profil RĂ©ponse certifiĂ©e par un expert ameli Un expert ameli a validĂ© la rĂ©ponse ci-dessous. Philippe Philippe Niveau 4 5000 / 5000 points Equipe 425 rĂ©ponses publiĂ©es Un brin nostalgique, furieusement tournĂ© vers l'avenir oĂč je compte bien passer me... Voir le profil Bonjour Cedric,L'Assurance Maladie vous tĂ©moigne tout son soutien. Je vous invite Ă transmettre Ă la caisse primaire d'assurance maladie du lieu de rĂ©sidence de votre mĂšre, sa carte Vitale ainsi qu'une copie de l'acte de retrouverez toutes les coordonnĂ©es de la CPAM prendre connaissance de l'ensemble des dĂ©marches Ă effectuer, je vous conseille de consulter sur l'article "DĂ©cĂšs dâun proche prestations et formalitĂ©s".Bon courage. Ce post vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? 82% des internautes ont trouvĂ© cette rĂ©ponse utile Autres rĂ©ponses Elryn Elryn Niveau 4 5000 / 5000 points 2 questions posĂ©es 13722 rĂ©ponses publiĂ©es 1467 meilleures rĂ©ponses Les meilleures rĂ©ponses sont les rĂ©ponses certifiĂ©es par un expert ameli ou approuvĂ©es par l'auteur de la question. Inscrite le 10/08/2017 Voir le profil Oui il faut joindre sa carte votre maman Ă©tait salariĂ©e ou en arrĂȘt maladie ou en AT/MP ou en invaliditĂ©, vous pouvez demander un capital un notaire gĂšre la succession il faut indiquer ses coordonnĂ©es. Sinon il faut faire une attestation de porte fort c'est une attestation dans laquelle vous indiquez que vous vous portez volontaire pour percevoir les Ă©ventuels rmeboursements en attente et pour payer les dettes Ă©ventuelles en attente et joindre votre journĂ©e Cedric Cedric Niveau 0 12 / 100 points 1 question posĂ©e 1 rĂ©ponse publiĂ©e 0 meilleure rĂ©ponse Les meilleures rĂ©ponses sont les rĂ©ponses certifiĂ©es par un expert ameli ou approuvĂ©es par l'auteur de la question. Inscrite le 12/12/2017 Voir le profil
MamĂšre est dĂ©cĂ©dĂ© suite Ă une pneumopathie. Quelques jours avant son dĂ©cĂšs ils lui ont donnĂ© des mĂ©dicaments sans prĂ©venir la famille. Quand jâ ai vu hypnovel jâai arrĂȘtĂ© l infirmiĂ©re . elle mâa dit que si jâĂ©tais pas satisfait de leur soins j âavais qu âa prendre ma mĂšre Ă la maison. Puis ensuite la cheffe de l
IDCC 292 Texte de base Convention collective nationale de la plasturgie du 1er juillet 1960. Etendue par arrĂȘtĂ© du 14 mai 1962 JONC 7 juin 1962 rectificatif 30 juin payĂ©es pour Ă©vĂ©nements de familleDerniĂšre modification ModifiĂ© par Avenant du 18 avril 1978 Ă©tendu par arrĂȘtĂ© du 17 juillet 1978 JONC 1er aoĂ»t par Convention collective nationale 1960-07-01 Ă©tendue par arrĂȘtĂ© du 14 mai 1962 JONC 7 juin 1962 rectificatif 30 juin 1962 Les absences des salariĂ©s, motivĂ©es par les Ă©vĂ©nements Ă©noncĂ©s ci-dessous, seront, sur justification, rĂ©munĂ©rĂ©es comme temps de travail effectif, dans les limites suivantes - mariage du salariĂ© 4 jours ; - mariage d'un enfant 1 jour ; - dĂ©cĂšs du conjoint 3 jours ; - dĂ©cĂšs d'un enfant 3 jours ; - dĂ©cĂšs du pĂšre, de la mĂšre 2 jours ; - dĂ©cĂšs du gendre, de la belle-fille 2 jours ; - dĂ©cĂšs des grands-parents, beaux-parents 2 jours ; - dĂ©cĂšs du frĂšre, de la soeur 1 jour. Si le dĂ©cĂšs survient au cours d'une pĂ©riode de congĂ©s payĂ©s, les jours d'absence prĂ©vus ci-dessus sont reportĂ©s Ă une date ultĂ©rieure fixĂ©e d'un commun accord entre l'employeur et le salariĂ© intĂ©ressĂ©, Ă©tant toutefois prĂ©cisĂ© que ce dernier doit reprendre son travail Ă l'expiration de ses congĂ©s payĂ©s, sauf le cas oĂč le dĂ©cĂšs aurait eu lieu dans les 3 jours prĂ©cĂ©dant la date prĂ©vue de reprise du travail.AprĂšsle dĂ©cĂšs dâun proche, le recours Ă un notaire nâest pas obligatoire dans toutes les situations. Il est cependant recommandĂ© de faire appel Ă ces professionnels, notamment quand il y a un risque de discorde entre les hĂ©ritiers. Vous devrez obligatoirement vous adresser Ă un notaire lorsque :
Je suis tombĂ©e sur ce forum et j'ai juste envie de pleurer. J'ai 66 ans, je suis fille unique....J'ai vĂ©cu enfant au milieu de scĂšnes de mĂ©nage violentes, entendu des choses pas de mon Ăąge, de cocufiage, etc..... J'ai dĂ» consoler mes parents aprĂšs leurs scĂšnes..... Mes parents etaient maltraitants pas physiquement mais moralement. Ma mĂšre me rabaissait en permanence en parlant de moi nĂ©gativement en ma prĂ©sence, lorsque j'Ă©tais enfant, adolescente, et mĂȘme adulte devant mes filles. J'Ă©tais nulle, lente, lymphatique, moins vive moins intelligente qu'elle..... Mon pĂšre lorsque j'Ă©tais petite avait l'air plus affectueux avec moi. Mais Ă 19 ans lorsque j'ai ratĂ© ma 1ere annĂ©e de facultĂ© il m'a dĂ©molit, traitĂ©e de nullitĂ©, rabaissĂ©e mĂȘme devant mes amis. Je n'ai jamais eu confiance en moi, j'ai toujours pensĂ© ne pas ĂȘtre "aimable" ! J'ai toujours couru aprĂšs leur amour. Un mot, un geste ! Mais rien. Heureusement pour moi j'ai rencontrĂ© un homme bien, sain, Ă©quilibrĂ©, j'ai eu 2 filles et je n'ai pas reproduit ce que j'avais vĂ©cu. J'ai tout fait pour donner Ă mes filles la confiance en elles dont moi je manquais. Je savais ce qu'il fallait faire et dire pour qu'elles soient "bien dans leurs baskets", surtout plus Ă©quilibrĂ©es que moi !!!. Il suffisait de donner, de faire, de dire l'inverse de ce que j'avais vĂ©cu. Ma mĂšre a Ă©tĂ© une grand mĂšre formidable, fan de mes filles surtout de l'aĂźnĂ©e, les 2 ont fait de brillantes Ă©tudes, mieux que moi. Ma mĂšre se retrouvait en elles. Ma mĂšre a quand mĂȘme dit Ă table devant moi "qu'elle n'y pouvait rien mais qu'elle n'aimait que ses petites filles" J'ai pensĂ© Ă des paroles maladroites et lui ai dit "merci pour moi" Elle a rĂ©pondu "j'y peux rien c'est comme ça !". Mes larmes et mon dĂ©part de la piĂšce n'y ont rien changĂ©, elle est restĂ©e de marbre. L'annĂ©e de mes 50 ans ma mĂšre est dĂ©cĂ©dĂ©e brutalement d'un AVC. J'ai beaucoup souffert qu'elle soit morte sans avoir eu l'occasion de me dire "qu'elle m'aimait". J'Ă©tais persuadĂ©e qu'en vieillissant, en s'adoucisant avant de mourir cela arriverait. Ăa Ă©tĂ© dur mais j'ai voulu croire qu'elle me l'avait montrĂ© et dit de façon dĂ©tournĂ©e. Mon pĂšre nous a prĂ©venu mon mari et moi aprĂšs le dĂ©cĂšs de ma mĂšre, que nous devrions venir tous les WE nous occuper de lui et de sa maison..... "Que les voyages s'Ă©taient terminĂ©s puisque ça nous Ă©tait arrivĂ©" sous entendu le dĂ©cĂšs de ma mĂšre. Quelques temps aprĂšs mon pĂšre mon pĂšre, ĂągĂ© de 73 ans m'a demandĂ© "l'autorisation de sortir avec une femme". J'ai trouvĂ© ça dĂ©placĂ© et lourd Ă porter. Mes filles m'ont dit "fais le tu auras la paix". En effet, j'ai eu 15 ans de bonheur. Il parlait de moi "en disant l'autre de xxxxx Ă tĂ©lĂ©phonĂ©e". Cette femme m'a dĂ©nigrĂ©e en disant partout que "je n'entourais pas assez mon pĂšre" mais je m'en foutais j'avais la paix. Sa compagne est dĂ©cĂ©dĂ©e depuis 7 mois et depuis je vis l'enfer. Je suis sa chose, sa poubelle ! J'ai droit Ă X appels quotidiens, des reproches, des paroles mĂ©prisantes, de la culpabilitĂ©. Il a eut x cancers, vu "x mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, spĂ©cialistes" fait des prises de sang, radios, scanners etc..... Il n'y a pas un jour oĂč ça va. Il ne fait que se plaindre, s'inquiĂ©ter Ă la moindre douleur. Il m'a appelĂ© plus de 20 fois la mĂȘme journĂ©e, la nuit aussi. Chaque fois j'entends "j'ai 90 ans, je suis seul, je suis trĂšs anxieux" J'ai tout essayĂ© pour le rĂ©conforter, le rassurer, rien n'y fait. J'ai criĂ©, je lui ai dit qu'il me rendait malade. Il s'en fout, j'ai droit Ă "je n'ai que toi !", "je suis trĂšs trĂšs malade, il faut que tu viennes", "je t'en supplie viens je suis entrain de mourir", sachant que 2 h aprĂšs il plaisante avec une voisine et que j'habite Ă 60 kms de chez lui..... Il me dit que la pharmacienne lui dit "mais vous n'avez pas d'enfant !?". Il veut me culpabiliser, il me fait du chantage au suicide. Il est jaloux du temps que je consacre Ă mes petits enfants, qui eux ont leurs parents alors que lui n'a que moi. Il refuse tout anti dĂ©presseur, anxiolitique, il a trop peur de s'accoutumer ou bien des effets secondaires. Par contre ça ne le dĂ©range pas que moi j'en prenne pour le supporter lui. J'ai dĂ©couvert qu'en fait il cochait toutes les cases du pervers narcissique. Je consulte psychologue, somatopathe, je lis..... Mais il m'habite, me manipule !!! quand il voit que je n'appelle pas, ou que je ne rĂ©ponds plus il me laisse des messages en larmes en me jurant "que c'est fini, qu'il ne me cherchera plus des noises, qu'il va changer" je ne peux pas m'empĂȘcher d'y croire et le lendemain il recommence. Juste sa voix au tĂ©lĂ©phone me donne des nausĂ©es, des maux de ventre. Je ne le supporte plus du tout. Il refuse de rentrer dans une maison. Il est bien entourĂ© en payant, mais sinon il est seul. Mes filles n'ont plus envie ni de lui tĂ©lĂ©phoner, ni de lui rendre visite. Moi je ne dors plus, on me dit de couper les ponts mais je n'y arrive pas. Il est si pittoyable, si seul. Si quelqu'un qui a vĂ©cu la mĂȘme chose peut m'aider Ă me sortir de cette emprise merci d'avance.
Safille de 46 ans, qui l'a aidĂ© Ă falsifier un certificat de dĂ©cĂšs, Ă©cope d'une amende de 2.000 euros dont 1.000 euros avec sursis, selon les informations du Parisien.Bonjour Lilliman, J'entends bien ta douleur, et pour l'avoir vĂ©cue aussi, je sais que c'est une pĂ©riode trĂšs difficile. C'est brutal et on a du mal Ă admettre que tout s'arrĂȘte aussi rapidement. Pour moi, c'Ă©tait il y a 17 ans. Ma mĂšre que j'aimais plus que tout, s'en est allĂ©e, tout doucement. Son cĆur fatiguĂ© s'est arrĂȘtĂ©, un peu comme la flamme d'une bougie qui a fini de se consumer. C'Ă©tait en Novembre aussi, et quand le lendemain il s'est mis Ă neiger, je me suis dit "qu'elle devait avoir bien froid". Elle restera dans mon cĆur Ă jamais, car c'Ă©tait une personne exceptionnelle, qui donnait beaucoup d'amour Ă nous tous, ses enfants, alors qu'elle s'oubliait elle-mĂȘme. Elle n'a pas souffert, c'est aussi ce qui a un peu apaisĂ© notre peine. Pendant longtemps, nous en avons parlĂ© avec mes frĂšres et sĆurs. Nous parlions d'elle, des souffrances qu'elle a vĂ©cues, des angles qu'elle arrondissait toujours pour que tout se passe bien entre les uns et les autres. Aujourd'hui, 17 ans aprĂšs, je pense Ă elle, tous les jours, et pratiquement toujours Ă la mĂȘme heure, car c'est Ă cette heure-lĂ que je lui tĂ©lĂ©phonais. Elle me manque encore terriblement, et d'autant plus aujourd'hui car je vis une situation de rupture conjugale extrĂȘmement douloureuse, et je sais qu'elle aurait trouvĂ© les mots qui apaisent, elle m'aurait prise dans ses bras, elle m'aurait rĂ©confortĂ© comme elle savait si bien le faire. Je ne crois plus en quelque Dieu que ce soit, et parfois, il m'arrive de l'appeler, de la prier pour que, de lĂ oĂč elle se trouve, elle m'envoie un peu de courage, de rĂ©confort. C'est en quelque sorte comme si elle Ă©tait mon dieu Ă moi. Tu sais Lilliman, comme l'exprime si bien revelune, nos parents sont ceux qui nous "protĂšgent", quel que soit notre Ăąge, car tant qu'ils sont lĂ , on est toujours leur enfant. Quand ils s'en vont, ils nous laissent orphelin, et surtout adulte. On a l'impression qu'on n'a plus cette protection qu'il assurait, et que maintenant, il va falloir qu'on avance sans cette "barriĂšre de protection". C'est dĂ©stabilisant. Cela nous demande beaucoup de courage, beaucoup de force pour surmonter cette Ă©preuve. C'est ce que je te souhaite Lilliman. Que tu sois forte. Que tu puisses en parler, autant de fois que tu en a envie, avec tes sĆurs, ton frĂšre, ton pĂšre, et bien sĂ»r, ici sur ce forum. Que tu aies du mal Ă supporter tes enfants et ton conjoint est normal. La disparition est encore trĂšs fraĂźche, et eux, comme ils continuent Ă vivre "normalement", cela t'agace. Mais essaies tout de mĂȘme d'ĂȘtre patiente avec eux. Quand ma mĂšre est dĂ©cĂ©dĂ©e, je ne supportai plus de voir les mamies dans la rue. Je leur en voulais d'ĂȘtre vivantes, alors que ma mĂšre Ă moi venait de partir. Et puis, petit Ă petit, cela s'est estompĂ©. Au fur et Ă mesure que le temps passera, tu avanceras petit Ă petit, la douleur sera moins violente, mais ta maman sera toujours, Ă jamais, dans ton cĆur. Et puis, tu sais Lilliman, il faut que tu te dises aussi qu'elle n'a pas trop longtemps souffert. Je vois beaucoup de gens de mon Ăąge aujourd'hui, qui sont confrontĂ©s aux soucis occasionnĂ©s par les hospitalisations de longue durĂ©e de leurs parents qui sont maintenus en vie alors que toute conscience a disparu depuis bien longtemps. Je me dis parfois que mĂȘme si ma maman est partie vite, brutalement, au moins, elle n'aura pas vĂ©cu ce long calvaire qui conduit jusqu'Ă la mort. Je te souhaite beaucoup, beaucoup de courage Lilliman, pour avancer dans cette douloureuse Ă©preuve. Gros bisous. Kelly fbgN6Pk.