Quand certains partent en vacances, d'autres sont au même endroit mais en télétravail. Une mobilité qui fait de plus en plus d'adeptes pour mêler travail et vacances. Par Etienne Herblot Publié le 23 Août 22 à 1038 Les 5 amis travaillent alors que Lise et Emeline profitent du soleil dehors. ©Etienne HerblotDepuis l’épidémie de Covid-19, les façons de travailler ont très vite évolué. Si le mot télétravail » n’évoquait rien ou semblait réservé à de très rares cas, il est désormais très largement profitent même de ce télétravail pour travailler, non pas de chez soi, mais depuis son lieu de mot-valise, venu du Canada, a été créé les tracances .Une contraction entre travail » et vacances ».Cette contraction, une bande d’amis l’a bien comprise, et elle s’en sert à merveille pour se décontracter… tout en travaillant quand il le depuis des lieux de vacancesEmeline, 27 ans, professeure des écoles en région parisienne, est venue passer quelques jours de vacances à Noirmoutier avec ses son groupe, seule elle et son amie Lise, 28 ans, en charge du mécénat pour un musée parisien, sont en en ce moment sur ActuLe reste de la bande travaille à distance. Julien est banquier, Pauline est cheffe de produit, Tiphaine est chargée digitale dans les biotechnologies, Alice est souscriptrice dans une compagnie d’assurance et Benjamin est manager finances. Tous âgés de 27 à 28 ans, ils font le choix de télétravailler les jeudis et vendredis pour partir même sans être en vacances. Un mode de vie plus agréable »Pauline explique, le télétravail est devenu un critère d’embauche. Je n’accepterais pas un poste sans télétravail ».Elle, comme beaucoup de ses amis, est en télétravail deux jours par semaine depuis le Covid-19. On part tout le temps pour nos jours de télétravail et on y reste en week-end après. On y voit beaucoup d’avantages, affirment-ils à l’unanimité. Ces jours-là, quand on n’est pas en région parisienne, on n’a pas de stress ni de perte de temps dans les transports ou dans les embouteillages. En région parisienne, nous n’avons pas de jardin alors qu’ici oui. En plus de cela, nous pouvons nous retrouver quelques jours entre amis ou en famille plus souvent, et les billets de train sont moins chers en semaine que les week-ends. » Cette disposition des semaines leur permet une meilleure qualité de travail » et de vivre sans la pression du rythme de la vie parisienne ».Julien, lui, travaille même plus en télétravail qu’au bureau, c’est un gain de temps, il n’y a pas de trajets et la pause du midi est plus courte ». Il y a plus de réunions le vendredi qu’avant, maintenant que beaucoup travaillent comme ça, et que les réunions peuvent se faire par visioconférence. C’est entré dans l’esprit des gens, par définition, c’est souvent plus calme les vendredis dans les entreprises. Tout le monde sait qu’il y a plus de télétravail le vendredi que les autres jours. L’acceptation tacite par tous de ce mode de travail est peut-être même un premier pas vers la semaine de quatre jours , se changement de vision globalCette démocratisation du télétravail permet de bouger plus librement et de travailler même très loin de son bureau ou de sa zone géographique de avantages, qui peuvent aussi avoir quelques inconvénients, pour lesquels les solutions sont propres à chacun. Les employeurs sont en général en accord avec les employés qui travaillent de loin, tant que le travail est toujours efficace, livrent-ils. Mais après, cela dépend de l’âge de l’employeur et du métier exercé. Pour certains, le fait que leurs employés soient loin est plus difficile à accepter. » Du côté des clients, cette distance peut entraîner un manque d’échange par le langage corporel et les échanges physiques mais pour cela, Julien voit le bon côté. Si ce manque d’échange physique peut être un inconvénient, il y a le gros avantage d’optimiser mon temps. Vu que je n’ai pas de déplacement entre deux rendez-vous, je perds moins de temps sur la route et je peux travailler tout de suite après un rendez-vous ou échanger avec plus de monde en une journée. » Chacun son rythmeGrâce à cette façon de travailler, les amis ont pu se retrouver quelques jours à Noirmoutier, dans la maison de l’une d’ les cinq qui travaillent, les journées sont rythmées. On prend nos petits déjeuners en allumant nos sessions de travail, le midi on fait une pause barbecue et le soir quand on a terminé on va à la plage. Et quand on fait des petites pauses, on a le luxe d’avoir nos amis pour partager un petit moment. » Pendant ce temps-là, Emeline et Lise préparent leurs rentrées respectives, profitent du soleil pendant que le reste de la bande travaille, ou s’occupent des rythme de travail et de vacances agréable, en attendant le week-end, où les ordinateurs pourront rester éteints pour profiter pleinement des précieux moments entre article vous a été utile ? 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Notreréaction à chaud fut de snober ce classement et de dire pourquoi, selon nous, la Corse méritait beaucoup mieux. Trop prétentieux me direz vous ? Peut-être bien. Dans le

^{Forum Corse Vie pratique Corse Ajaccio Signaler Le 16 mars 2012 Bonjour,Je pars bientôt pour la corse le lundi 19 mars afin de rencontrer une sage-femme qui travaille à belle opportunité s'offre en effet à moi qui souhaite mettre un peu de piment dans ma vie j'ai la posibilité de la remplacer pendant 6 mois avant peut-être de devenir suis donc à la recherche de toutes sortes d'info concernant la vie quel serait le meilleur endroit pour me fixer-> comment faire de nelles rencontres-> quels sont les lieux incontournables à voir -> etc..N'hésitez pas, j'attends vos idées, pars là quelques jours pour apprécier l'endroit, voi comment je pourrais m'y sentir, etc... Je travaillerai la semaine avec elle et je prévois de me balader le encore entre aller à Bastia ou Calvi. Que me conseillez vous? je compte prendre le train. Est-il toujours en activité?Quels hôtels pouvz-vous me conseiller ou déconseiller?J'ai entendu parler de l'hôtel sud à bastia ou du posta d'avance pour vos bonnes idées! 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En France, il y a une communauté de personnes toxiques que l’on ne trouve pas en Espagne. Il y a moins d’incivilités sur la route ou dans les centres-villes. * Discipline: En moyenne, les C’est au tour de Marjorie DI PLACIDO PIETRI de nous partager son histoire. Avec une carrière bien remplie par ses années de salariat et son aventure entrepreneuriale, Marjorie a décidé de quitter Paris pour rejoindre sa terre de sang, la Corse. Un témoignage franc et inspirant ! Commençons par le commencement, pourquoi vous êtes-vous installé à Paris ? C’est pour le travail que je suis arrivée sur Paris. Lorsque j’étais salariée tout d’abord. D’Assistante Pédagogique à RRH en passant par des postes de Responsable de pôle, tous mes jobs étaient localisés sur Paris. Lorsque je me suis mise à mon compte à la naissance de mes filles, il y a 12 ans, mon agence était immatriculée à Paris également, sur une place stratégique Les Champs Elysées. Déjà convaincue à l’époque des bénéfices et avantages du télétravail et malgré cette magnifique adresse, au bout de 2 ans, lorsque je me suis séparée de mon associé, j’ai préféré poursuivre l’activité et m’épanouir hors de bureaux conventionnels ». Combien de temps êtes-vous restée dans la capitale et quelles raisons vous ont poussé à partir ? J’y suis restée peu de temps pour y vivre ma vie personnelle, c’est surtout ma vie professionnelle qui me rattachait à Paris quasi 17 ans pour le travail. Pour le côté perso, je suis vite partie en IDF où les prix de l’immobilier étaient plus abordables et surtout nous étions loin de l’agitation de la capitale et de la tristesse qui se dégage selon moi des gens qui y vivent/bossent. Il suffit d’observer quelques visages dans les transports parisiens pour être déprimé toute la journée. Il faut dire que je suis issue d’une famille de voyageurs où le relationnel est important. J’ai vécu 7 ans notamment en Martinique petite, entourée de personnes qui même sans argent avaient toujours le sourire aux lèvres. J’ai gravité autour des Antilles avec mes parents, de la Corse où toute ma famille côté maternel habite et où je passais toutes les vacances scolaires. Mon père voyageait en Asie, au Sénégal pour le travail et il partageait à son retour ses découvertes avec nous. Nous allions également de temps en temps voir ma soeur qui faisait ses études aux Etats-Unis. Alors rester à la même place, toute ma vie en travaillant sans pouvoir profiter de rien n’était pas imaginable pour la suite de notre vie à 4. J’ai mis du temps à prendre la décision de tout quitter, freinée à l’époque par des croyances limitantes. Mais j’ai avancé pas à pas en direction de cette liberté qui était représentée notamment par le fait de pouvoir vivre et travailler de n’importe où dans le monde pour profiter et voyager avec mes enfants. Vous avez dit ciao à Paris, où habitez vous maintenant ? Que faites-vous ? Je suis en Corse, ma terre de sang, à côté de Porto Vecchio, dans le village familial. J’ai quitté depuis peu mes fonctions de DRH dans une structure remote-native après 3 années en tant que salariée. Je suis aujourd’hui à nouveau entrepreneure et je viens de développer deux marques une qui labellise les entreprises qui pratiquent le télétravail de façon choisie label RemoteFriendlyet l’autre qui met en relation ces entreprises labellisées et des talents ouverts aux opportunités dans ce contexte TousNomades. En parallèle de cela, je suis devenue conseillère municipale depuis 2 ans dans ma commune et accompagne la Mairie sur les sujets liés au développement du numérique, de l’emploi et de la formation. Comment vous êtes-vous décidé à quitter Paris et comment avez-vous franchi le pas ? Comment avez-vous choisi votre destination ? J’ai arrêté d’écouter ceux qui en réalité répercutaient uniquement leurs propres peurs. J’ai compris que l’avis des autres, n’est que la vie des autres » et rien d’autre. Que si 100 000 personnes vont dans une direction et que je suis seule à aller dans l’autre sens, ça ne veut pas dire qu’il faut changer mes projets ou ne plus croire en mon intuition. Pour le lieu, c’était facile. Mes filles étaient déjà attachées à la Corse, à notre village familial et pour mon mari cela reste proche du continent pour voir sa famille quand il en éprouve le besoin. Quels sont les points positifs de votre nouvelle vie ? Pas de bouchons sauf 2 mois en été…Les gens se disent bonjour » et se demandent comment ça va aujourd’hui »les enfants prennent un bus scolaire dédié aux enfants pas de risque de faire de mauvaises rencontresOn connait vite tout le mondeLes activités sont très accessibles d’un point de vue financierLa plage est à 7 min en voiture, la montagne à 30, la 1ère piste de ski à 1h40Chaque ville est différente et on a jamais fait le tour de toutes les merveilles de cette îleLa nature est présente partoutL’entraide est quelque chose de naturel iciLes classes sont moins chargées et les repas sont souvent bio ou sont faits maison »L’air est sain, on respire » Quels sont les points négatifs ? Il n’y a pas la fibre partoutLes études supérieures se font uniquement dans certaines villes de Corse ou sur le continent obligeant les enfants à partir vivre seuls très jeunesTout se sait, donc si tu as une mauvaise expérience ici, il sera difficile d’avoir une 2nde chanceLes logements sont aussi chers que sur Paris et se louent à l’année scolaire Quelles sont vos bonnes adresses dans votre nouvelle ville ? Il y a un guide du routard pour ça hihi… Tout est magnifique et bon ici bon ok, je ne suis pas objective, mais une Corse ne dira jamais de mal de ce qui se trouve sur son île Quels conseils donneriez-vous aux parisiens qui veulent partir ? Ressources utiles, personnes à connaitre, outils… Une bonne confiance en soi et dans le pourquoi » on le fait… le reste suivra. Merci à Marjorie pour son beau témoignage ! Retrouvez-la sur Linkedin.

Georgioven 20/04/2018 - 15:31. L Espagne est un super pays avec ces défauts et qualités, mes si vous partez dans L idée de vivre à la française en Espagne resté en France la fiscalité en

La Corse pourrait-elle vivre sans le tourisme? C'est pour répondre par l'affirmative à cette interrogation que l'opération Territoires zéro chômeur », en partie financée par des fonds publics, a décidé de poser ses valises sur l'île. Présidée par l'ancien député Laurent Grandguillaume ex-PS, l'association a déjà recueilli les candidatures de dizaines de communes. Son objectif affiché éradiquer le chômage longue durée dans la région la plus pauvre de France. Nous voulons changer la société corse, sortir du consumérisme à outrance et revenir à des valeurs de partage, explique Véronique Albertini, responsable du dispositif. Le tourisme, les centres commerciaux, les start-up, c'est très bien, mais il existe autre chose. En créant des services à la personne, en remettant du liant social, nous voulons rendre le pouvoir à la société civile. » La Corse, usine emblématique de saisonniers, point de chute des vacanciers en maillots de bain, veut devenir une fabrique d'entrepreneurs, pépinière de cela, Territoires zéro chômeur » veut créer de la richesse dans l'intérieur pour stopper l'exode rural. Chaque commune a ses propres attentes. L'innovation, c'est d'étudier de façon très précise les besoins du territoire. Les emplois créés ne doivent pas interférer avec l'activité économique existante. » Personne n'est inemployable »Aux quatre coins de l'île, la création d'entreprises à but d'emploi EBE va permettre de recruter des volontaires pour répondre à des besoins précis, ciblés, étudiés. La communauté de communes Pascal Paoli n'a pas de cantine pour ses écoles ? Le dispositif va créer une cuisine centrale de livraison de repas avec trois emplois à la clé. Les habitants ne savent pas quoi faire de leurs tissus ? Une recyclerie, un pressing et un atelier de couture vont voir le jour. Avec quatre emplois même révolution se prépare dans les villages de l'Alta Rocca, du Cap Corse ou encore de l'extrême sud. Nous avons trois principes majeurs le premier, c'est que personne n'est inemployable, tout le monde a des capacités. Ensuite, ce n'est pas le travail qui manque, c'est l'emploi. Et enfin l'argent existe, il faut juste le réaffecter. »Selon les derniers chiffres de l'Insee, la Corse compte 6900 chômeurs de longue durée. La démarche Territoires zéro chômeur » ambitionne de créer 1000 CDI. Un sacré pari qui ferait du dispositif le deuxième employeur de l'île. Juste derrière la RECRUTENT EN 2019. 14000 postes dans l'hôtellerieUn hôtel Mercure inauguré à Biguglia, un projet de palace à Ajaccio l'hôtellerie ne connaît pas la crise sur l'île. En 2018, le secteur a été le premier employeur de Corse avec 14000 postes créés. Pour 2019, nos offres sont en augmentation, annonce Bernard Giudicelli, président de l'Union des métiers de l'industrie hôtelière Umih. Mais les postes ne seront pas tous pourvus. L'hôtellerie ne fait plus rêver les jeunes. Y travailler doit redevenir gratifiant, financièrement et socialement. »L'idée des professionnels insulaires serait de créer un nouveau type de contrat. C'est le CDI saisonnier huit mois de salaire pris en charge par l'employeur, deux mois de formation et deux autres compensés par l'État. Ce contrat offrirait un vrai statut social. Je suis persuadé qu'avec 14000 postes de CDI saisonniers, la Corse trouverait son personnel sans être obligée de recruter en Europe de l'Est. »LE COUP DE POUCE. L'entraide entre CorsesCommuniti est un réseau social et professionnel qui met en relation les Corses du monde entier. Avec près de 11000 membres, la plate-forme se trouve à mi-chemin entre Twitter et LinkedIn. Au menu infos, projets mais surtout réseautage. La devise de Communiti? Participer au développement économique de la Corse. Chaque jour, plusieurs offres d'emploi sont publiées sur le site. Avec un objectif permettre aux Corses de la diaspora de revenir travailler sur leur PAR RÉGION, QUI RECRUTE EN 2019 ?Auvergne - Rhône-Alpes Bourgogne - Franche-Comté Bretagne Centre - Val de Loire DOM-TOM Grand Est Hauts-de-France Ile-de-France Normandie Nouvelle-Aquitaine Occitanie Pays de la Loire Provence - Alpes - Côte-d’AzurService consultez les dernières offres d'emploi en Corse

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LExpress a livré, lundi 19 février 2018, son classement annuel des villes françaises où il fait bon vivre et travailler. Les communes de Normandie sont-elles attractives ? Archives Ici un jeune couple s'informe des contrats de mariage, là une personne âgée se préoccupe de sa succession, tandis qu'une autre demande comment faire, dès à présent, un don à un de ses enfants. Le niveau 5 du Palais des congrès, porte Maillot à Paris, a accueilli, lundi 22 novembre, plus de trois cents notaires réunis pour les Rencontres notariales, et les milliers de personnes venues les consulter pendant cette journée. Article réservé aux abonnés De tous les " nouveaux problèmes " suscité par le thème retenu, " la famille et le droit ", ce sont sans nul doute ceux découlant de l'union libre qui ont provoqué le plus d'intérêt parmi les thèmes retenus par le mouvement Jeune notariat, coorganisateur de ces " rencontres " avec les Notaires de France mariage, enfant, adoption, relations familiales, Français à l'étranger et étrangers en France. Selon les organisateurs de la journée, quatre cent seize mille mariages ont été contractés en 1972, trois cent quinze mille seulement en 1982. En revanche, si l'on comptait quatre cent dix mille couples non mariés en 1975, on les estimait à sept cent dix mille en 1981... Des chiffres qui font réfléchir les législateurs. Mais, pour le moment, l'union libre, le concubinage, n'est pas abordé globalement. Cependant, il arrive que la loi en tienne compte, comme la loi Quillot par exemple, lorsqu'elle précise les droits des propriétaires et des locataires. À présent, lorsque le titulaire d'un bail décède, s'il vivait en concubinage notoire, son concubin ou sa concubine ne peut plus être expulsé du logement. " En revanche, ont expliqué les notaires, si le locataire en place veut mettre dehors son partenaire lorsque la mésentente s'installe, rien ne l'y empêche à moins que le bail soit établi aux deux noms. " Très bizarrement, le vide juridique concernant le concubinage peut, dans certains cas, aboutir à de très intéressants avantages fiscaux, du fait que les concubins doivent remplir leur déclaration de revenus séparément. Quel intérêt en effet peut avoir une veuve ou un veuf à se remarier si il ou elle a un enfant au moins à charge puisqu'il ou elle bénéficie d'un quotient familial égal à celui d'un couple marié, soit 2,5 parts avec un enfant, 3 parts avec deux enfants, etc. De même, comme le premier enfant des célibataires compte pour une part entière pour le calcul de l'impôt sur le revenu, si un enfant naît d'un couple de concubins et est reconnu par ses deux parents, celui dont les revenus sont les plus élevés a intérêt à le prendre sur sa feuille de déclaration. S'il y a deux enfants et que les deux parents travaillent, il est préférable que chacun prenne un enfant... Dans ce cas, alors qu'une famille " normale " bénéficie de trois parts, les concubins bénéficient en tout de quatre parts ! De plus, chacun peut déduire les frais de garde, possibilité offerte aux personnes seules ayant un enfant de moins de quatre ans si le revenu ne dépasse pas un plafond fixé chaque année et bénéficie de toutes les aides prévues. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lesferrys partent de Marseille et de Toulon (également de Nice mais seulement pour la Corse) et ont l’avantage de pouvoir emmener avec soi sa voiture. Mais ils ont l’inconvénient d’être nettement plus lents que l’avion

Publié le 02/12/2017 à 0900, Mis à jour le 06/02/2018 à 1509 L'Île de Beauté bénéficie d'un statut particulier depuis le décret de Napoléon du 24 avril 1811. STEPHAN AGOSTINI/AFP Le président de la République est reçu ce mardi à Ajaccio par Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, les deux élus de la nouvelle collectivité unique de Corse. Un territoire qui bénéficie de particularités fiscales concernant les vins locaux, le tabac ou encore les véhicules un déplacement très attendu. Après la visite de Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, les nouveaux représentants de la collectivité territoriale unique de Corse, au premier ministre en janvier, c'est au tour du président de la République de se rendre sur l'Île de Beauté. L'occasion de faire le point sur les particularités fiscales de la Corse qui bénéficie d'un statut dérogatoire justifié par son insularité depuis le décret de Napoléon du 24 avril lire aussiQue pèse la Corse dans l'économie française?Des exceptions qui font grincer des dents en juin 2016, dans un référé adressé à l'ancien ministre des finances Michel Sapin, la Cour des comptes relevait ainsi l'existence de pratiques dérogatoires reposant sur des dispositions obsolètes, voire dépourvues de tout fondement légal, qui méconnaissent le principe général d'égalité devant l'impôt». La Cour attirait l'attention du ministre sur différents points• Aucune taxe sur les vins locauxLa Cour des comptes expliquait notamment que la taxe sur la valeur ajoutée TVA n'était pas appliquée sur les ventes de vins produits et consommés en Corse. Le taux légal de la TVA sur les vins étant de 20%, la Cour évalue à 49,5 millions d'euros par an le montant de l'impôt éludé», détaillait le lire aussiCes Corses qui rêvent d'interdire les achats immobiliers aux non-résidentsSelon la Cour, cette situation découlerait d'un engagement verbal du ministre de l'économie et des finances - Michel Debré - lors d'une séance publique à l'Assemblée nationale le 17 octobre 1967. Il s'était alors engagé à ce que la charge supportée par les consommateurs de vins corses ne soit pas aggravée en 1968». Une situation qui perdure en dépit de la charge de la Cour des comptes en octobre 2016, deux amendements visant à supprimer l'exonération de TVA sur les vins corses avaient finalement été retirés dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances pour 2017.• Une taxation réduite sur le tabacLes magistrats financiers dénonçaient également un régime fiscal des tabacs dérogatoire et non conforme à la réglementation européenne». La Cour évaluait la perte de recettes fiscales à 27 millions d'euros par lire aussiLes députés ont adopté le budget de la Sécurité socialeEn Corse, les produits du tabac sont en moyenne 25% moins chers que sur le continent. Dans le dernier projet de budget de la Sécurité sociale, une convergence des prix du tabac entre la Corse et le continent a été actée elle devra être achevée en 2021.• Un impôt sur certains véhicules routiers non appliquéLa taxe spéciale sur certains véhicules routiers TSVR, également appelée taxe à l'essieu», a été créée par la loi de finances pour 1968. Elle s'applique aux véhicules de transport de marchandises de plus de 12 tonnes circulant sur la voie publique.Jusqu'au 1er janvier 2012, sans aucun fondement légal, cette taxe n'était pas appliquée aux véhicules imposables immatriculés en Corse. Depuis cette date, elle est appliquée aux véhicules immatriculés en Corse circulant sur le continent mais, sans plus de justification, ne s'applique pas à ceux qui ne circulent que dans l'île», pointait la Cour des comptes. La juridiction financière évaluait à euros par an la perte de recettes fiscales liée à l'absence d'application de cet impôt.• Une TVA allégée sur de nombreux produitsAutre particularité corse, qui ne figure pas dans le référé de la Cour des comptes de juin 2016, des taux de TVA réduits 2,1% contre 20% sur le continent sont appliqués à de nombreux biens et services. Par exemple, l'eau, les boissons non alcooliques, les chocolats, les livres mais aussi les spectacles, les entrées au zoo ou encore dans les musées.• Des avantages fiscaux pour les entreprises et les ménagesDernier point, les entreprises corses bénéficient elles aussi de quelques avantages en matière d'impôt. Elles peuvent notamment appliquer un abattement de 25% sur la cotisation foncière des entreprises CFE, l'un des impôts locaux ayant remplacé la taxe professionnelle. Il existe également une exonération de taxe foncière sur les propriétés non-bâties pour les terres agricoles situées en Corse prés, vergers, vignes, bois, lacs.. cette mesure profite aux ménages comme aux VOIR AUSSI - Corse un pas de plus vers l'autonomie?

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vivre en corse avantage et inconvenient