 36,90 € TTC  Disponible Mon déguisement comprend le "manteau" imprimé léopard la ceinture noire Taille Quantité Description Détails du produit Référence VG74571 Fiche technique Composition 100% polyester Entretien Lavage à l'eau tiède Conseils Pas de javel, de chlore ni de sèche linge Références spécifiques Vous aimerez aussi Perruque Katia Le père noël est une ordure Prix 16,70 € Perruque de couleur noire idéale pour entrer dans la peau de... Déguisement du Père noël est une ordure Prix 19,90 € Mon déguisement comprend le manteau long à capuche la... Déguisement Le père noël est une ordure Prix 14,90 € Mon déguisement comprend le tee shirt blanc imprimé Déguisement Zézette épouse X Prix 22,90 € Mon déguisement comprend la blouse à pois et à manches... Les clients qui ont acheté ce produit ont également acheté... Perruque Jeff Tuche Prix 11,95 € Perruque pré coiffée représentant le célèbre Jeff Tuche.... Dentier Zézette épouse X Prix 2,10 € Dentier avec des dents écartées idéal pour entrer dans la peau... Déguisement Zézette épouse X Prix 22,90 € Mon déguisement comprend la blouse à pois et à manches... Déguisement Thérèse -Le père noel est une ordure Prix 16,90 € Mon déguisement comprend la jupe tissus écossais Taille... Perruque Félix - Le père noël est une ordure Prix 12,90 € Perruque de couleur châtain laissant apparaître une calvitie... Moustache Jeff Tuche Prix 2,20 € Moustache auto adhésive de couleur châtain pour accessoiriser... Lunette de Félix, Père noël est une ordure Prix 6,90 € Lunettes en plastique noir sans verres idéal pour... Sur bottes vinyle noire Prix 15,90 € Couvres bottes en vinyle noir à enfiler par dessus n'importe... Déguisement Le père noël... 36,90 € Mon déguisement comprend le "manteau" imprimé léopard la ceinture noire

La "vraie" histoire du Père Noël J'ai une version qui diffère quelque peu de celle de Lionel. Elle a fait l'objet d'un article, élaboré difficilement et signé par moi-même, paru dans un hebdomadaire spécialisé ; à ce jour, je n'ai encore pas reçu de démenti et de droit de réponse. Mais bon! elle peut être intéressante à comparer à celle de Lionel ; pour ma part, j'ai essayé de respecter une certaine chronologie dans la recherche "historique" La vraie histoire du Père Noël On peut être universellement connu, générer une masse d’argent énorme et être aimé des enfants et des grands, mais toutefois rester un parfait inconnu quand à ses origines. C’est ce qui ressort de mes nombreuses recherches. Si le Père Noël existe bien dans notre imaginaire –qu’il soit une ordure » ou assassiné », accompagnant Babar » et la petite fille » ou qu’il ait les yeux bleus »- sa naissance s’estompe vite dans les brumes du 19° siècle. Peut-être suffirait-il d’y croire tout simplement, mais, pour nous collectionneurs, l’historique des objets est une valeur, héroïque assurément, mais parfaitement légitime. Inspiré de St Nicolas Personnage imaginaire sensé apporter des cadeaux aux enfants la nuit de Noël, sa venue dans le monde médiatique et mercantile est relativement récente. Il semblerait d’ailleurs que ce soit St Nicolas qui ait inspiré le Père Noël, car on retrouve dans sa représentation tout ce qui faisait la symbolique du saint homme dont les traces, pour ce qui le concerne, bien que lointaines, soient tangibles. En fait tout commence avec la religion. Dès l’origine, l’homme a cru en une puissance sacrée dans l’univers, capable d’agir sur les saisons, la fertilité, la naissance et la mort. Cette croyance a été très tôt liée au culte des morts tout en supposant une survie après celle-ci. Les dieux et créatures de l’Antiquité sont tous des esprits, des non-vivants qui contrôlent la vie des humains selon leur gré. A cela, est lié le culte de la lumière et du soleil, présents dans toutes les cultures d’Europe comme source de vie. A celle-ci, s’oppose l’obscurité, favorable aux mauvais esprits et forces occultes, provoquant de l’inquiétude et de l’angoisse chez l’être humain. C’est ainsi que va s’établir, dans l’imaginaire, la période sombre de l’hiver débutant le 1° novembre après la fête des morts et se terminant le 1° mai avec le renouveau de la nature ; le point culminant de cette saison des esprits » étant le solstice d’hiver. Cycles et repères Plusieurs dates sont importantes durant cette période le commencement du mois de novembre, la période de l’avent en décembre, les douze jours qui débutent avec Noël, se terminent avec l’Epiphanie et culminent au jour de l’An. Chacune des fêtes de l’hiver a donné lieu à des rituels destinés à attirer la bienveillance des esprits et des ancêtres. La mascarade » est, sans doute, l’un des rites les plus anciens de la culture européenne. On cite des cortèges de jeunes hommes habillés en peau de bêtes et le visage recouvert d’un masque de forme humaine ou animale et se rendant de maison en maison pour réclamer de quoi boire et manger. Parmi les masques, certains personnages étaient récurrents comme le vieux » qui incarnait l’esprit du patriarche, ancêtre du vieux chaman qui connaît tout et sait tout.. C’est ainsi qu’en Angleterre, on signale un forme archaïque de mascarade connue sous le nom de mumming », menée par un personnage appelé Noël », très vieux et portant une longue barbe. En France, aux 13° et 17° siècles, plusieurs textes parlent d’un mystérieux individu incarnant l’esprit d’un ancêtre, également nommé Noël » et qui quêtait jadis de porte en porte durant le solstice d’hiver, accompagné de créatures masquées. Du vieux » à Noël En Europe Orientale, on le nommait communément le vieux » et après l’arrivée du christianisme en Occident, il a prit le nom de Noël ». Voilà pour les premières traces visibles du bonhomme. Mais, dès le début du Moyen-Age, un combat débute. Le christianisme, venu du Proche-Orient, commence à s’opposer au paganisme qui l’avait précédé en terres d’Occident. L’Eglise attribue à des saints, les lieux sacrés de l’ancienne religion et combat violemment les dieux antiques en leur donnant, aux yeux du bas peuple, une teinte démoniaque. La coutume très populaire de la mascarade est sévèrement condamnée, mais sans être pour autant supprimée. Agissant avec intelligence, l’Eglise, impuissante à faire disparaître les anciennes traditions, donne tout simplement des noms chrétiens aux mascarades St Martin pour les cortèges de début novembre ; St Nicolas, St Lucie ou St Etienne pour les cortèges de l’avent et de Noël. Ils étaient trois petits enfants Dans le sud de l’Allemagne, St Nicolas, dont le culte extrêmement répandu dans le nord de l’Europe et importé d’Orient au 10° siècle par la byzantine Théophano, femme du roi Oton 1°, est même substitué au vieux » de la mascarade. Il apparaît parmi d’autres personnages, muni de sa barbe, d’une crosse et de sa célèbre mitre d’évêque. Voilà que le personnage commence à s’esquisser dans l’iconographie populaire. Mais quel est le rapport, me direz-vous, avec les enfants ? Et bien, St Nicolas, évêque de Myre, en Asie Mineure, a été rendu célèbre au 4° siècle pour ses miracles envers les enfants, dont le plus connu est celui des trois petits enfants qui s’en allaient glaner aux champs ». Mis en pièces dans un saloir par un boucher-aubergiste assassin à qui ils avaient demandé l’hospitalité, les trois enfants recouvrèrent la vie grâce à St Nicolas qui passa par là sept années plus tard. Le saint homme commença donc à remplir toutes les conditions pour devenir celui que fête les enfants. Parallèlement, au nouveau regard posé sur l’enfance à partir du 15° siècle –on considère leur valeur inestimable et l’éducation devient prioritaire-, St Nicolas commence à passer la veille du 6 décembre dans les maisons, pour récompenser les enfants sages inversant le rôle initial du vieux » dans les mascarades. Désormais accompagné de son âne et d’un esprit monstrueux, le croquemitaine, il passera récompenser les enfants sages et punir les enfants désobéissants. Détrôné par les fées Toutefois, à la fin du 16° siècle, le protestantisme apparaît en Allemagne et St Nicolas, accusé d’être un peu trop papiste, est remplacé par l’enfant Jésus. Il va donc falloir déplacer la date de la distribution des cadeaux à la date de la Nativité. Entre autres turpitudes, à partir du 17° siècle, dans les pays germaniques, à cause de la laïcisation voulue par l’Empire, on signale parfois des fées de Noël remplaçant le ChristKind », plus ou moins liées à St Lucie et portant des noms significatifs du paganisme revenant au goût du jour Frau Holle, Tante Arié, Chauchevieille, Berchta… Enfin, on ne saurait occulter la période du franchissement de l’Atlantique par le Bonhomme Noël. C’est avec les immigrants du nord de l’Europe, Hollandais en tête, que les coutumes respectives vont également découvrir le Nouveau Monde. Catholiques, ces derniers célébraient chaque année Sint Niklaas » qui distribuait ses cadeaux aux enfants sages dès le 6 décembre. Mais, c’est avec l’arrivée en masse des colons anglais et surtout allemands que les coutumes de Father Christmas » et du Weihnachtsmann » prirent définitivement le dessus au niveau planétaire. Ainsi, le Père Noël actuel habite au Pôle Nord tandis que son traîneau est désormais tiré par des rennes. Et c’est l’illustrateur Thomas Nast, allemand de naissance qui, à partir de 1862, dans une série d’illustrations diffusées dans le monde entier, a donné une image concrète et définitive de Père Noël telle que nous la connaissons aujourd’hui. Cette enquête historique ne doit surtout pas empêcher de croire au Père Noël. D’autant que l’on constate que, paradoxalement, c’est l’Asie, qui est à peu près la seule partie du monde non concernée par les fêtes de la Nativité, qui se taille la part du lion en matière de commerce d’objets à l’effigie du Père Noël, voire des cadeaux. In-La Vie du Collectionneur, n° 393, du 14 décembre 2001, sous la signature Cinquesse c’est moi ! lol _Serge_

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