Disponiblesur les consoles de salon dernière génération et sur PC, il s’agit d’un titre développé par Moon Studios d’après une idée originale de Brian Fargo. Il fait suite à Ori and the Blind Forest sorti en 2011 et dont vous retrouverez les solutions sur nos pages. Le jeu est toujours ausi beau et poétique, c’est un vrai régal.
Comme tout bon metroidvania qui se respecte, Ori and the Will of the Wisps propose aux joueurs de relever un certain nombre de défis au cours de son aventure. Pour cela, une panoplie de compétences et d’équipements sont mis à sa disposition. Mais tout comme dans notre réalité, rien n’est gratuit à Niwen. Pour les obtenir, il va falloir les monnayer contre de la lumière spirituelle auprès des différents marchands. Nous vous proposons donc de découvrir à travers ce guide plusieurs méthodes permettant de remporter rapidement et facilement toute la lumière spirituelle nécessaire. ► Retrouvez également notre test du jeu à cette adresse À l’instar d’Ori and the Blind Forest en 2015, les nouvelles aventures d’Ori impliquent tout au long du jeu de développer et d’améliorer les compétences du petit esprit sylvestre blanc afin de pouvoir progresser au mieux au sein de l’environnement. En effet, metroidvania oblige, certaines zones demeureront inaccessibles tant que les capacités nécessaires n’auront pas été récupérées ou débloquées. Cependant, mener l’histoire principale à son terme ne suffit pas à tout voir ni à tout débloquer. Ainsi, même à l’issue de l’aventure, quelques défis et quêtes supplémentaires continueront de se proposer à vous dans les contrées de Niwen. Plus encore, si vous êtes un chasseur de succès dans l’âme, vous remarquerez que plusieurs d’entre eux nécessitent de trouver, d’acheter et d’améliorer au maximum toutes les compétences et tous les fragments spirituels d’Ori. Pour cela, il faut donc disposer de suffisamment de lumière spirituelle, qui sert de monnaie d’échange auprès des différents marchands. Ceux ayant déjà pu s’essayer au premier opus se souviendront de cela puisque des succès similaires étaient déjà présents. Toutefois, rassurez-vous la tâche a été largement simplifiée ici grâce aux nouveautés apportées par ce deuxième jeu. En effet, alors qu’il était particulièrement fastidieux de remporter de la lumière spirituelle et par extension des points de compétence dans Ori and the Blind Forest, Ori and the Will of the Wisps met à notre disposition différentes options permettant de faciliter le processus. Nous vous proposons donc d’en découvrir une liste afin que vous puissiez rapidement mettre la main sur tout ce dont vous avez besoin. SOMMAIRE Tuez un maximum d’ennemis Équipez-vous du fragment spirituel Moisson lumineuse » Récupérez les brasiers de lumière spirituelle Utilisez l’environnement Faites les défis surtout les Sanctuaires de combat Tuez un maximum d’ennemis C’est une évidence mais il est quand même toujours bon de le rappeler le meilleur moyen d’obtenir de la lumière spirituelle dans le jeu consiste à tuer le maximum d’ennemis possible. Heureusement pour nous, ce n’est pas ce qui manque et vous passerez votre temps à en croiser durant vos pérégrinations dans les contrées de Niwen. De ce fait, n’hésitez pas à vous jeter tête baissée dans la bataille dès que vous en avez l’occasion. Même s’il est parfois tentant de se contenter d’esquiver pour avancer plus vite ou encore d’utiliser les déplacements rapides, évitez de le faire. Dites-vous que le temps que vous prenez à les éliminer maintenant, c’est du temps que vous n’aurez pas à prendre une fois l’aventure terminée pour amasser ce qu’il vous manque. Équipez-vous du fragment spirituel Moisson lumineuse » Une étape simple et surtout complémentaire avec la précédente qui pourra vous rendre bien des services sur le long terme. Il est donc vivement conseillé de l’appliquer le plus tôt possible. Avec le nouveau système de fragments spirituels introduit par Ori and the Will of the Wisps, il est possible de s’attribuer un certain nombre de bonus de jeu. Parmi eux s’en trouve un intitulé Moisson lumineuse » qui permet de récupérer davantage de lumière spirituelle à chaque ennemi vaincu. Vous pouvez l’acheter auprès de Twillen dans le hub principal situé aux Clairières de la Source. Bien entendu, profitez-en pour l’améliorer au maximum dès que vous en avez l’occasion. Récupérez les brasiers de lumière spirituelle Au cours de votre périple, vous pourrez débusquer un certain nombre de collectibles qui vous seront utiles d’une manière ou d’une autre par la suite. Parmi eux se trouvent notamment des brasiers de lumière spirituelle, souvent cachés derrière des éléments du décor et donc non visibles sur la carte des lieux. Pas d’inquiétude, la plupart ne sont pas bien difficiles à trouver pour autant si tant est que l’on se montre un minimum consciencieux dans son exploration. En mettant la main dessus, vous remporterez alors une bonne quantité de lumière spirituelle d’un coup. Si la plupart des brasiers de lumière spirituelle sont bien cachés, certains sont parfois plus visibles… mais pas nécessairement facilement accessibles pour autant Si jamais vous souhaitez vous assurer que vous les avez tous récupérés, regardez le pourcentage d’exploration qui apparaît sur chacune des zones de votre carte. S’il n’affiche pas 100% malgré le fait que vous ayez récupéré tous les collectibles visibles, c’est qu’il doit vous manquer un ou plusieurs brasiers. Pour bénéficier d’un coup de pouce supplémentaire, vous pouvez vous procurer et vous équiper du fragment spirituel Secret » auprès de Twillen. Pour connaître leur emplacement exact, vous devrez aller au bout de la quête annexe De mains en mains ». Utilisez l’environnement Dans la continuité de l’astuce précédente, n’hésitez pas à profiter de votre environnement autant que vous le pouvez. En effet, les décors regorgent d’éléments qui peuvent vous permettre de glaner plus que facilement quelques orbes de lumière spirituelle. Par exemple, détruisez les plantes vertes suspendues dès que vous en croisez, approchez-vous des plantes aquatiques qui en détiennent ou récupérez les orbes bloqués dans le sable. N’hésitez pas non plus à multiplier les passages dans le hub principal des Clairières de la Source, notamment après avoir amélioré au maximum les lieux en ayant réalisé les quêtes annexes de Grom et Tuley. Entre les habitations remplies d’objets à détruire en particulier celle de Lupo et les extérieurs ponctués de plantes à traverser et détruire, vous aurez de quoi en récupérer un certain nombre à chaque visite. Faites les défis surtout les Sanctuaires de combat Si malgré tous ces conseils il vous reste encore beaucoup de travail une fois l’aventure arrivée à son terme, une ultime astuce s’offre à vous. Une astuce que l’on aurait d’ailleurs adoré avoir dans Ori and the Blind Forest tant elle nous apparaît comme une bénédiction. Dans chacune des zones de jeu, vous pourrez tomber sur deux défis à réaliser l’un étant un Sanctuaire de combat, l’autre une course de vitesse. En les remportant une première fois, vous obtiendrez d’office une belle quantité de lumière spirituelle. Mais au besoin, sachez que les Sanctuaires de combat vous permettent de remporter de manière illimitée la fameuse monnaie. De ce fait, usez et abusez-en autant que vous le pouvez car une grosse dizaine de minutes suffira à vous en faire récupérer par milliers. Sachant qu’ils sont aussi faciles que courts à réaliser, vous ne pouvez pas rêver mieux pour associer rentabilité et rapidité. En combinant l’une ou plusieurs de ces méthodes dès le début de l’aventure, vous devriez alors assez rapidement obtenir toute la lumière spirituelle dont vous avez besoin pour rendre vos sessions de jeu moins compliquées à appréhender, notamment en mode Difficile, tout en menant à bien votre chasse aux succès. Comme on dit souvent maintenant, il n’y a plus qu’à . Pour rappel, Ori and the Will of the Wisps est disponible sur Xbox One et PC.
Lescréateurs d’Ori and the Blind Forest reviennent avec la suite tant attendue de leur œuvre, Ori and the Will of the Wisps. Lancez-vous dans une toute nouvelle aventure au cœur d’un vaste monde exotique, affrontez de gigantesques ennemis, résolvez des puzzles complexes au cours de votre voyage et découvrez la vraie destinée d’Ori. A l'heure où les contenus additionnels sont presque devenus la norme, les éditions complètes ou salade-tomates-oignons sont aussi monnaie courante désormais. La particularité d'Ori and the Blind Forest tient au fait que tous les ajouts effectués sont livrés en même temps que sa Definitive Edition, un an tout juste après la sortie initiale du titre de Moon Studios et sans passer par la case DLC quelques mois plus tôt. Il faudra donc acquérir cette version - proposée à 5 euros si vous possédez déjà le jeu original ou 20 euros dans le cas contraire - pour avoir l'occasion de plonger dans les nouveaux recoins de la forêt de Nibel, qui réservent quelques défis et pouvoirs supplémentaires intéressants mais pas forcément indispensables. Explications dans l'encadré juste en-dessous. Condition de test Ce test de Ori and the Blind Forest Definitive Edition a été réalisé à partir d'une version éditeur. Notre comparateur de prix NINTENDO SWITCH PC XBOX ONE Cdiscount 29,99 Amazon 29,99 Micromania 31,99 Rakuten 37,49 Fnac 39,99 Cultura 39,99 Fnac marketplace 58,78 Dlgamer 4,49 Green man gaming 4,99 Gamesplanet 4,99 2game 4,99 Gamesload 4,99 Gamersgate 4,99 Amazon 27,44 Cdiscount 22,46 Ori and the Limbo ForestSous ses apparences de Limbo au pays des bestioles poilues et des corbeaux revanchards, Ori and the Blind Forest cache bien plus qu'un simple jeu de plates-formes, mais un vrai Metroidvania, ce genre qui marie exploration, montée en niveau, et affichage de la map tous les deux pas pour ne pas perdre le fil. Le genre de concept qu'il semble difficile de rater de Dust An Elysian Tail à Guacamelee, les derniers exemples en date ont souvent été couronnés de succès. Gestion du rythme, dosage de la progression, entre liberté d'exploration et entraves liées aux capacités que l'on débloque si la formule exige un véritable savoir-faire en matière de level design, tous les éléments de la structure s'imbriquent d'eux-mêmes quand ils sont réfléchis et maîtrisés. C'est également le cas de Ori and the Blind Forest, qui repose lui aussi sur des capacités permanentes à débloquer, à mesure que la bête en appelle aux esprits, et d'autres compétences bonus qui ne dépendent plus du scénario mais des orbes d'expérience nichées dans une sale dérobée ou lootées sur la carapace d'un se défendre, Ori utilise la lumière spirituelle, une sorte d'émanation genre rayon laser, qui s'en va cogner les créatures à proximité, avec une zone tête-chercheuse qui ne pourra que grandir au gré de l'aventure. Chargée, elle explose tous les ennemis alentour. La progression suit donc son cours avec un véritable sens du rythme dans l'attribution des pouvoirs, de l'inévitable double saut qui donne accès à des zones inexplorées au vol plané. Mention spéciale pour la "Frappe" qui permet à la fois de prendre appui sur les projectiles ennemis pour mieux leur renvoyer, une excellente idée qui génère des puzzles tatillons et ouvre sur des phases de haute voltige dans le dernier tiers, quand Ori est suffisamment aguerri pour se ne plus avoir besoin de toucher le sol. Mieux, Ori and the Blind Forest marque les temps forts de l'aventure en introduisant des donjons élémentaires à chaque esprit réveillé. Des zones "à part" qui transformeront la topographie de la forêt ; en réveillant l'arbre source de vie, les marécages se transformeront ainsi en étendues d'eau, pour explorer de nouvelles zones sous-marines, et ainsi de suite. L'arbre de Ginso offre d'ailleurs à lui seul un grand moment de level ta peauJusque-là , la formule de Ori pourrait paraître un brin classique. Le titre puise son originalité à la fois dans son esthétique Ghibli, mais aussi dans le dosage millimétré de son challenge, qui fait voler en éclats les conventions des Metroidvania. Oubliez la progression pépère inhérente au genre avec son ingénieux système de checkpoints à la demande, Moon Studios s'est permis de pousser la réglette du challenge sur la droite, pas trop loin du rouge, en total contraste avec l'apparence enfantine de son héros. Dans La Forêt Aveugle, le joueur est libre de matérialiser ses balises de respawn, pourvu qu'Ori ait encore un point d'énergie à sacrifier... au risque d'être en rade de magie pour ouvrir certains portails bonus. Impossible de sauvegarder dans un endroit un peu trop hostile, rassurez-vous, même si le jeu n'en manque pas. Racines épineuses, courants de lave, piranhas crève-la-dalle ne sont qu'un mince aperçu des innombrables dangers qu'il faudra surmonter, les sauts étant souvent aussi millimétrés que Rayman, le premier, cité parmi les inspirations des créateurs. Dans le jeu de Moon Studios, les ennemis font vraiment mal, les collisions encore pire, et si les chutes dans des puits sans fond sont plutôt rares, le quota de plates-formes bien tendues est largement rempli. Ce n'est clairement pas un hasard si le jeu affiche le nombre de morts aussitôt en pause c'est même le principal critère retenu pour départager deux joueurs dans les classements en être prévenu depuis les Bois Brumeux jusqu'aux hauteurs de Nibel, vous allez mourir plusieurs centaines de fois en premier run, écrasé sous un rocher branlant, désintégré par un laser, noyé dans la souche d'un arbre en crue. Une propension au die and retry, meurs et rejoue, qui prend parfois des allures de parcours de combattant, notamment durant les quelques phases où le jeu vous retire tout droit à la sauvegarde, pour mieux exécuter la séquence prévue par les programmeurs... quitte à manger des pièges quasiment impossibles à anticiper du premier coup. A ce titre, chaque donjon se conclut sur ce genre d'épreuve un peu forcée, qui vous laissera aussi haletant qu'Ori ; une gestion du rythme et de la narration aussi imposée que maîtrisée, puisque chacun de ces morceaux de bravoure se conclura sur une cinématique superbe, déliant avec brio une intrigue plus réfléchie qu'il n'y dans le rétroPrécisons que la limite de checkpoints est loin d'être une entrave. S'il y a bien des moments où l'on s'en veut d'avoir posé une balise de sauvegarde dans un endroit un peu isolé, le genre d'erreur d'appréciation qui limitera vos droits à l'erreur sur quelques mètres, le level design est suffisamment bien pensé pour réserver tôt ou tard une stèle qui vous recharge à fond, au minimum des piñatas de bonus. Aucun risque de finir coincé pour la sauvegarde de trop, juste un plan galère au pire. Paradoxalement, le jeu devient de plus en plus conciliant à mesure de la progression, pour peu que l'on investisse ses points d'expérience dans les branches utiles de l'arbre de compétences. Défense accrue, vie rechargée en partie à chaque balise posée il faudra bien ça pour regarder les derniers défis les yeux dans les yeux, retors comme du sur le plan artistique, convaincant dans son gameplay et même original dans sa gestion du challenge, Ori and the Blind Forest vous entraînera huit à dix heures dans une sublime aventure, qui n'a finalement que deux seuls vrais défauts. Pour mieux mettre en valeur l'immensité du monde, son foisonnement, son hostilité vis-à -vis de Ori, Moon Studios a fait le choix de reculer la caméra autant que possible. Un parti pris qui rend non seulement les vieilles diagonales ou les moniteurs de PC obsolètes, mais qui nuit à la lisibilité des pièges et des projectiles, même quand ils sont rose fluo. C'est assez flagrant sur les blobs ennemis qui se désagrègent en larves, et plus généralement sur les projectiles des crapauds et autres zizis sortis de terre. Dans un jeu qui mise beaucoup sur la précision des sauts et l'anticipation des pièges, c'est gênant. Même les décors manquent parfois de clarté entre les zones à pics et celles où l'on peut poser le pied tranquille. Quant à la rejouabilité, sorti de la quête des maps visitées à 100%, tout dépendra de votre motivation personnelle. Certains se mettront en quête du "0 Death", tandis que les autres repartiront pour un tour en visant les derniers succès qui leur restent, du genre finir le jeu sans débloquer la moindre capacité ; dans tous les cas, la sauvegarde sera inaccessible une fois que le générique de fin défile, comme pour mieux refermer la couverture d'un livre dont on aura chéri chaque page. Du moins celles qui ne nous ont pas fait rager. Le trailer du jour Ça vous a intéressé ? En voilà encore ! Cest également le cas de Ori and the Blind Forest, qui repose lui aussi sur des capacités permanentes à débloquer, à mesure que la bête en Page Wiki Récupérer la Source Publié le 30/03/2015 à 1028 Partager De retour dans la grande salle où vous étiez initialement tombé par la faute de Gumo, placez la Pierre-carte dans la stèle pour révéler la carte, puis escaladez la paroi de droite pour atteindre les rondins suspendus, depuis lesquels vous pourrez sauter vers les autres rondins sur la gauche. Détruisez la grosse fleur bleue pour un gain d'expérience, sautez au dessus du lac toxique en contrebas, reprenez de la hauteur en usant du double saut pour passer au dessus des pics et vous filerez à nouveau au train de à nouveau le double-saut pour pouvoir vous accrocher aux parois et éviter tout contact avec les pics, puis sautez de pilier en pilier à mesure que ceux-ci remontent pour pouvoir traverser sans risque et accéder à la grosse fleur bleue, synonyme de gain d'expérience. Tirez ensuite le levier un peu plus à droite pour débloquer un raccourci vous serez ainsi libre d'explorer la partie sud des tunnels pour le moment laissée de côté. En bloquant les rayons violets avec les rochers à votre disposition et en amenant le bloc nimbé de bleu tout en bas à droite, vous pourrez récolter une Cellule de compétence, sur la gauche, ainsi qu'une Cellule d'énergie et un grand brasier spirituel à débloquer en redirigeant le tir de la plant tout en fait, remontez pour poursuivre Gumo vers le nord-est et lorsque les pierres commencent à tomber, calculez bien vos sauts pour pouvoir grimper sans trop de casse et ainsi libérer Gumo de sa tombe en devenir. Sur la gauche, plein de gratitude, ce dernier vous remet alors la Source sans demander son reste libre à vous dès lors de foncer à l'arbre Ginso ou bien d'explorer un peu les environs pour trouver de nouvelles cellules avant and the Blind Forest tous nos guides SoluceOri and the Blind Forest. Ruines éplorées. Bienvenue dans notre soluce complète de Ori and the Blind Forest, le Metroidvania enchanteur développé par Moon Studio et édité par Microsoft, Vous incarnez Ori, une petite bestiole se . Le Sceau de Gumon, La plume de Kuro, Ruines éplorées, Marcher sur les murs . Vous verrez sur cette page de notre guide complète Ori Exactement 5 ans jour pour jour séparent la sortie de Ori and the Blind Forest et celle de sa suite très attendue, Ori and the Will of the Wisps. Les bons jeux de plateforme et metroidvania n'ont pas manqué depuis, mais Ori a une place à part avec ses décors enchanteurs qui donnent presque l'impression de jouer en permanence dans une scène clé d'un Disney ou d'un Ghibli, avant que notre mignonne petite créature ne se fasse brutalement tuer, encore et encore. Les attentes sont donc fortes, et le développement semble avoir rencontré son lot de difficulté, mais nous y sommes enfin, et nous avons découvert ce que le destin a en réserve pour Ori, en dehors de quelques centaines de morts. Merci à Microsoft de nous avoir fourni une copie de Ori and the Will of the Wisps en avance pour le test, même si cela a été une prise de risque de leur part en l'absence du patch Day one dont il a bien besoin. Genre Plates-formes, Metroidvania Date de sortie 11 mars 2020 Plateforme Xbox One et PC Développeur Moon Studios Éditeur Xbox Game Studios Prix 29,99€ disponible sur Amazon Testé sur Xbox One X et PC Une chouette vie de famille À l'issue du premier jeu, Ori a obtenu une famille recomposée presque parfaite, avec ses joies et malheurs mondains, le tout nous est présenté avec le même style attendrissant que le passé. Mais s'il y a bien une chose que les dessins-animés de notre enfance nous ont appris, c'est que les petits animaux finissent toujours égarés, loin de leur famille, ou que leur forêt est en danger. Notre petite bestiole et son ami à plumes sont donc pris dans une tempête et séparés, avant de s'échouer en terre aussi hostile qu'inconnue. Comme on pouvait s'y attendre, il leur faudra surmonter des obstacles, venir à bout d'ennemis, se faire de nouveaux alliés et redonner vie à une vaste région en plein déclin. C'est classique et prévisible, mais cela reste une belle histoire qui sait jouer avec nos émotions. Il faut dire que la combinaison entre l'évolution des décors, la lumière, la musique et le langage corporel des animaux en dit généralement plus qu'un long discours. Sur ce point, on retrouve toute la force du premier titre, et c'est dirigé de main de maître, même si on sait à quoi s'attendre. Cela permet en tout cas de se reposer et de se calmer après une poursuite mortelle et un boss difficile, qui composent le véritable cœur de l'expérience. Si vous avez le sang chaud, préparez la manette de rechange. Ori tree friends Ce second opus pousse les choses bien plus loin que le premier dans la direction d'un metroidvania. Vous débutez l'aventure sans même un pouvoir d'attaque la vie de famille, ça ramollit et il faudra vous frayer un chemin dans un marais hostile jusqu'à trouver votre première arme de fortune, puis différents pouvoirs, qui ouvriront indirectement de nouveaux lieux à explorer. Cette corniche éloignée peut être atteindre avec le double saut, celle plateforme avec la ruée, ce bonus au plafond avec le grappin, etc. Moult secrets sont éparpillés un peu partout, et il faudra souvent faire un usage créatif de vos nombreux pouvoirs, ou revenir après en avoir acquis d'autres, pour mettre la main dessus. Si on ajoute à cela une bonne vingtaine de pouvoirs passifs que vous pouvez choisir d'activer ou pas, ainsi qu'une bonne dizaine de pouvoirs de combat différents, il y en a pour tous les goûts, que vous soyez un débutant ou un speedrunner dans l'âme. Le nouveau monde est aussi vaste que varié, avec des environnements qui proposent différents types d'obstacles et vous demanderont de modifier vos pouvoirs d'attaque et vos passifs. Cela rend la prise en main un poil complexe au début, tant Ori possède d'actions et d'options, mais il faut admettre que si au départ, la maniabilité nous semblait approximative, il s'est avéré qu'elle a simplement été conçue pour un haut niveau de jeu. Avec de l'entraînement, il est amusant de réaliser de véritables prouesses. Bien que l'aspect plateformes soit toujours prédominant, avec un nombre important de courses-poursuites mortelles contre des boss ou contre-la-montre, les combats tiennent à présent une place bien plus importante. Même les premiers ennemis du jeu sont incroyablement retors, et se faire tuer lamentablement par le premier adversaire après l'avoir sous-estimé n'est pas quelque chose auquel nous nous attendions. Mais ce n'était qu'un avant-goût, et de véritables arènes de combat vous attendent à l'occasion. Affronter 5 ou 6 ennemis pénibles individuellement dans une zone close n'est pas une mince affaire et la mort arrive vite. Le jeu est assez difficile, même en normal, mais c'est un choix délibéré visiblement. La raison étant que les checkpoints du jeu sont très trop ? généreux, et on réapparaît à proximité sans pénalité, voire directement devant le boss pour une nouvelle tentative sans le moindre délai. Cela permet de ne pas trop s'énerver même en cas de mort injuste, ce qui arrive. Et cela permet aussi de rapidement maîtriser les passages les plus difficiles, en particulier lorsque les subtilités du gameplay sont prises en main. Projeter les ennemis les uns sur les autres ou invoquer des drones de combat sont différentes approches possibles. En plus de tout cela, de nombreux PNJ seront éparpillés dans le monde du jeu pour vous aider, soit en vous vendant cartes et compétences, soit en en ouvrant le chemin. Ils vous proposeront aussi régulièrement des quêtes classiques, comme la chaîne d'échange d'objet, résoudre une énigme ou sauver leur monde. La construction du village de la vallée de la source est aussi une bonne manière d'enrichir l'histoire et le gameplay, tout en vous donnant une bonne raison d'aller dénicher tous les collectibles possibles. La durée de vie s'en trouve aussi nettement rallongée. Un voyage Orinique Graphiquement, ce nouvel épisode ne se démarque pas beaucoup de son aîné, mais sa direction artistique particulière offre des paysages magnifiques et les nombreuses interactions avec les éléments du décor donnent vraiment l'impression de progresser au milieu d'une nature luxuriante ou hostile. Les herbes ondulent, les champignons et les branchent plient sous notre poids, etc. De plus, dans le cadre de la progression, les environnements et leur ambiance changent parfois drastiquement. Tout un niveau peut pivoter, l'eau peut être purifiée et elle peut s'écouler d'un niveau à l'autre. La chaleur peut augmenter et faire fondre la glace, les ténèbres peuvent se dissiper, ou à l'inverse s'épaissir... Le tout avec des effets de lumière fort réussis. Cependant, le moteur du jeu montre ses limites sur les boss par exemple, qui sont en 3D, certains vilains polygones et les limites des modèles ressortent alors. Les éléments en arrière-plan semblent aussi être en basse résolution à l'occasion. Ori bleu Nous avons rencontré de nombreux problèmes de performance et des bugs à foison sur la version Xbox du jeu, avec des freezes réguliers et des pertes de sauvegarde entre autres. Heureusement, avec la même version numérique, il est aussi possible d'y jouer sur PC. Dans ce second cas, nous n'avons pas rencontré de problèmes en dehors d'un lancement du jeu étonnamment long. Si vous comptez y jouer sur Xbox, il peut être avisé d'attendre de voir ce qu'apportera le patch day one. Ori and the Will of the Wisps est la digne suite que les fans attendaient. Sans révolutionner la recette du premier opus, il l'améliore et l'enrichit de bien des façons. Il est plus vaste, plus complet, plus difficile, avec de nouvelles activités, tout en préservant l'identité visuelle et le style narratif d'Ori and the Blind Forest. Bien que la difficulté soit assez corsée, elle est bien compensée par les autres mécanismes du jeu, et l'ambiance générale permet très souvent de passer un agréable moment C'est un jeu à faire pour les fans du premier, et l'occasion de découvrir la licence pour les autres. Direction artistique et ambiance sublimes Difficile mais satisfaisant Étonnamment vaste et riche Les énigmes et parcours retors De multiples manières d'aborder les combats et la progression De nombreux bugs et des problèmes de performances dans la version test Des hitboxes mal délimitées Des combats parfois confus Checkpoints un peu trop généreux Voir la suite Objectifle platine ☺ Débloquez tous les succès et trophées du jeu Ori and the Blind Forest avec des guides sur les succès secrets, des astuces, des conseils et plus encore.Il est des jeux qui, en un court instant, sont capables de captiver toute notre attention pour ne plus jamais nous faire oublier leur existence. Ce fut le cas de Ori and the Blind Forest, dévoilé subrepticement pendant la conférence Microsoft de l’E3 2014 lors d’un trailer qui réunissait tous les jeux du programme IDXbox. Depuis, le titre développé par Moon Studios s’est dévoilé avec parcimonie, comme pour garder intact le mystère qui l’entourait, mais aussi soigner chacune de ces apparitions. Après un report qui aurait pu redorer le blason de la Xbox One à Noël dernier, Ori vient enfin poser ses graines sur la console de Microsoft qui s’est peut-être payée l’une des belles exclusivités de l’année 2015. Et c’est tout sauf du bullshit de journaliste !Il existe mille et une façons d’attendrir le joueur et Ori and the Blind Forest a choisi de le faire dès son introduction, dans les premières minutes de son aventure. A l’image du film Up! Là -Haut des studios Pixar, un drame va venir vous toucher en plein cœur et décupler votre envie de prendre soin d’Ori, cette petite créature à mi-chemin entre un lapin et un singe, ou plus simplement une version revisitée du Stitch de Disney. Son objectif ? Sauver l’Arbre des Esprits qui se meurt après que Kuro, un hibou géant maléfique, se soit emparé de sa lumière, indispensable pour la survie et l’équilibre de la forêt. L’histoire de Ori and the Blind Forest est certes convenue, mais le jeu multiplie tellement les références à des œuvres puissantes qu’on se sent forcément impliqué, surtout si on est sensible aux films du studio Ghibli. Les développeurs de Moon Studios nous l’avaient confié lors de notre rencontre à l’E3 dernier, Mon Voisin Totoro et Princesse Mononoké ont été deux sources d’inspiration majeures dans la création artistique de leur jeu. Il faut dire que les thèmes écolos de Hayao Miyazaki sont omniprésents, afin de nous rappeler l’importance de la nature et que nous avons besoin d’elle pour rester en AVEUGLECet hommage vibrant est rendu possible par la justesse de la mise en scène d’Ori and The Blind Forest, sobre, délicate et pleine d’émotions, mais aussi par ses graphismes, somptueux, fabuleux, majestueux, ajoutez autant de superlatifs que vous voulez car ils ne seront jamais de trop pour décrire la beauté du jeu. Chaque moment passé en compagnie du titre de Moon Studios est un régal pour les yeux, comme si on avait affaire à une succession de tableaux et de peintures réalisées par les plus grands maîtres du genre. En plus de jouer avec les différents effets de plan, Ori and The Blind Forest n’hésite pas à rendre vivant chacun des éléments du décor, qu’il s’agisse des feuilles des arbres qui dansent au gré du vent, l’herbe qui se courbe au passage d’Ori ou tout simplement les pétales qui virevoltent dans les airs. Les décors sont tellement riches et d’une incroyable générosité que la Xbox One a parfois du mal à suivre certaines actions, notamment quand la pyrotechnie s’en mêle, au point même de faire chuter dramatiquement le framerate. Et le jeu ne tourne qu’en 720p, c’est dire...Chaque moment passé en compagnie du titre de Moon Studios est un régal pour les yeux, comme si on avait affaire à une succession de tableaux et de peintures réalisées par les plus grands maîtres du dans sa réalisation, Ori and the Blind Forest propose également un gameplay tout aussi soigné, pour ne pas dire quasiment irréprochable. Sous ses faux airs de jeu de plates-formes basique se cache en réalité un Metroidvania, où l’exploration, la montée en puissance de notre petite bête et la dextérité du joueur constituent un tout uniforme. Ori commence l’aventure dénué de tout pouvoir mais au fil des rencontres et des arbres sauvés, notre héros va acquérir de nouveaux pouvoirs. Le premier n’est autre que cette flamme étincelante, une source de lumière capable de lui parler mais aussi de le défendre des – nombreux – ennemis qu’il va croiser en route. En tapotant sur le bouton X, cette flamme peut en effet cogner les ennemis sur une certaine distance, avec la possibilité d’agrandir la zone d’action. Une fois le pouvoir de la flamme attisée en sa possession, Ori peut créer une forte explosion capable d’éliminer d’un coup tous les ennemis alentours, mais aussi exploser des murs fissurés et ainsi débloquer de nouveaux passages. Le double-saut intervient au tiers du jeu et offre lui aussi de nouvelles perspectives, nous rappelant qu’il est nécessaire de revenir dans les premiers niveaux pour accéder aux corniches qu’on jugeait un peu hautes au début de l’ POUR MIEUX SURVIVREDes pouvoirs assez classiques dans l’ensemble, mais les concepteurs de Moon Studios n’ont pas oublié d’apporter leur touche personnelle, en proposant par exemple le pouvoir de la Frappe, qui permet de se propulser dans les airs à partir de projectiles ennemis, tout en les renvoyant dans le sens opposé. Le genre de nouveautés qui permet aux développeurs de proposer des phases de plates-formes assez épiques, ces fameuses séquences de fuites capables de faire grimper de manière exponentielle vos pulsations cardiaques. Il existe d’autres pouvoirs à débloquer comme la possibilité de s’agripper sur le long des murs ou bien encore planer quelques secondes, mais quoiqu’il en soit, tout le génie d’Ori and The Blind Forest se juge dans son entier, notamment dans la maîtrise de son rythme et de sa progression, mais aussi de sa manière à appréhender les checkpoints. C’est une première dans un jeu vidéo, le joueur est totalement libre de placer ses points de sauvegarde là où il le souhaite, enfin s’il lui reste un point d’énergie en stock. Un système pour le moins ingénieux, mais qu’on a du mal à assimiler au départ, tant il paraît déroutant et peu conventionnel. Donc après une séquence de plateforming un peu délicate, pensez à maintenir la touche B, elle peut vous sauver la vie, ou du moins à vous faire gagner du temps et éviter de vous arracher les derniers cheveux qu’il reste sur votre crâne dégarni. Car de toutes les façons, Ori and The Blind Forest est bâti de telle sorte que vous allez en chier. Du bon die & retry qui va faire bander les Ayatollahs du jeu vidéo et rendre fou les autres, qui baisseront peut-être les bras après plus de 20 morts consécutives. A eux, nous adressons ces mots rien n’est impossible, il faut un peu de persévérance, parfois du recul, car Ori and The Blind Forest n’affiche pas le même sadisme que la série des Dark Souls où la difficulté est souvent abusive. Car de toutes les façons, Ori and The Blind Forest est bâti de telle sorte que vous allez en chier. Du bon die & retry qui va faire bander les Ayatollahs du jeu vidéo et rendre fou les autres, qui baisseront peut-être les bras après plus de 20 morts consécutives. La raison pour laquelle le die & retry n’est jamais punitif, c’est grâce à l’ingéniosité du level design et aux indices laissés ici et là pour permettre au joueur de comprendre ses erreurs et les corriger aussitôt. Il vous faudra peut-être plusieurs dizaines de tentatives pour surmonter un obstacle, mais l’aboutissement n’est jamais très loin. Metroidvania oblige, Ori and The Blind Forest vous demandera d’afficher la map très souvent, histoire de repérer la route principale mais aussi dénicher les passages secrets pour mettre la main sur de précieux bonus. Toute la structure des niveaux – et de ses donjons – semble avoir été pensée avec la même cohérence, ce qui permet au joueur d’établir son propre plan d’attaque. Certes, certains passages demandent qu’on les mette entre parenthèses le temps de récupérer la compétence requise, mais il est toujours possible de retourner sur ses pas, quelque soit notre avancée dans le jeu. En ligne droite, comptez une dizaine d’heures pour voir défiler le générique de fin et rajoutez 3 ou 4 heures de plus si vous vous amusez à débloquer tous les Succès et récupérer tous les bonus planqués dans les niveaux. Malgré une replay value assez faible, Ori and The Blind Forest se rejoue avec plaisir, ne serait-ce que pour diminuer le nombre de morts affichés dans son historique. A ce propos, vous pouvez partager vos exploits online, même si parfois il est préférable de ne rien dire…XtKOf62.